Les neurosciences au service du management

Par le 22 novembre 2013

Le management est un exercice solitaire. Face à lui-même, conscient de l’impact de ses décisions, le manager se demande : « comment tenir compte de l’affect dans les relations ? », « Jusqu’où faire confiance à celui-ci ? », « Comment sanctionner celui-là ? », « Entre ces deux candidats, lequel choisir ? »… Toutes ces questions sans réponse trouvent un éclairage nouveau avec les dernières avancées des neurosciences.

Les champs informationnels

Notre vision classique du monde est mise à mal par la découverte de ce que les scientifiques appellent les « champs informationnels ». Ces champs sont « ce qui occupe le vide quand on enlève tout ». Ils traversent la matière et sont indépendants du temps et de l’espace. En physique quantique, depuis quelques décennies, les scientifiques ont constaté que certaines particules réagissent simultanément alors qu’une seule de ces particules est stimulée et que les autres se trouvent à des milliers de kilomètres, voire plus. Il y aurait donc des phénomènes corrélés à des distances très grandes et qui peuvent communiquer à une vitesse plus grande que la lumière…
Information et énergie sont partout à l’intérieur de notre espace et à l’intérieur de notre corps, dans chaque cellule.

Une deuxième grande découverte est que nous interagissons en permanence avec ces champs informationnels et que, par conséquent, ils nous influencent et nous les influençons également. Par exemple, il a été démontré que certains éléments se transforment par le simple regard : une onde, quand je ne la regarde pas, devient une particule quand je la regarde ! Cela ressemble à de l’information invisible gravée sur un DVD devenant un film grâce au lecteur de DVD.

Une autre expérience étonnante sur cette interaction concerne la modification informationnelle de l’eau. Un simple verre d’eau qui a été l’objet d’attention positive donne une eau perçue de meilleur goût… alors que sa composition chimique reste inchangée !

Conséquence pratique, le manager est attentif à ce qui se passe dans les espaces confinés de type open space où les influences entre individus sont « exponentielles ». Il est primordial pour lui de conserver des espaces « privés » qu’il utilise pour les entretiens personnels (et pas seulement de recadrage !) mais qu’il met à disposition de chacun pour pouvoir « décompresser ».

L’eau

Une troisième grande découverte nous révèle que notre système d’influence et d’interaction n’est pas, comme nous le croyons depuis plusieurs siècles, uniquement lié à nos perceptions sensorielles et à nos capacités cérébrales.

Nous savons que notre corps est constitué de 90% d’eau. Or, comme l’expérience du verre d’eau nous le suggère, cette eau est porteuse d’informations dynamiques. A l’instar du physicien russe Konstantin Korotskov, des scientifiques affirment qu’un micron d’eau peut enregistrer des centaines de milliers d’informations. Nous-mêmes ne serions conscients que d’environ 2000 bits d’information par seconde alors qu’il en arrive 400 milliards chaque seconde ! Ces informations, traversant nos organes, sont traitées en permanence et impriment petit à petit des micro-changements dans notre organisme.

Nous aurions donc des cellules agissant comme des cellules nerveuses, nos neurones (d’où le nom de neurosciences), captant et émettant des champs informationnels.
Pour reprendre l’exemple de l’open space mentionné il y a un instant, le manager est attentif à la quantité et à la qualité des informations générées dans le brouhaha ambiant. Même concentré sur sa conversation téléphonique, un collaborateur enregistre dans son cerveau la tension conflictuelle entre deux personnes. Même s’il n’est pas concerné, ses neurones accumulent ces informations heure après heure, jour après jour.
Parmi ces neurones, certains seraient « spécialisés » dans le traitement de l’information en résonnance avec l’extérieur, ce sont des neurones-miroirs.

Les neurones miroirs

Les recherches sur les neurones miroirs nous prouvent que chez l’homme, ces neurones nous permettent de nous mettre à la place d’autrui, de capter ses intentions, ses sentiments et émotions. Il y aurait donc une explication neurobiologique à l’empathie.

Les cellules miroirs expliqueraient pourquoi les émotions, tant le rire que la peine, sont contagieuses ; en voyant une personne s’esclaffer ou pleurer, nous ressentons automatiquement la même émotion. Ces réseaux constitueraient donc l’une des bases neuronales de la cognition sociale gérant l’établissement de nos relations avec les autres.

L’importance de ces neurones miroirs est primordiale à connaitre dans nos interactions sociales, et particulièrement utiles pour le manager : bien choisir un tuteur pour un nouveau collaborateur, organiser des binômes où les complémentarités vont se renforcer par mimétisme, fêter les réussites pour ancrer les bonnes pratiques… autant de voies possibles à explorer pour le manager.

Le cœur

Chacun de nos organes émet un champ électromagnétique informationnel : les os, l’estomac, le cerveau, le sang… et le cœur.

Des expériences ont été menées sur les réactions aux stimuli positifs et négatifs. Elles montrent qu’avant même le cerveau, le cœur perçoit de façon directe et immédiate la force affective liée aux images. La perception visuelle entraine une réaction dans cet ordre : cœur, puis cerveau, puis corps.

Certains scientifiques affirment même que cette perception du cœur précède le stimulus, comme s’il réagissait à un pressentiment, une intuition.
Du cœur émane un champ électromagnétique intense et étendu qui ferait de cet organe la porte d’entrée des informations dans le corps.
L’intuition comme champ d’étude des scientifiques : voilà qui laisse songeur.

Toutes ces avancées laissent entrevoir des champs d’expérimentation ouverts et passionnants : Quel est le rôle de l’intuition ? Comment utiliser tout ce potentiel pour apprendre ? Quelles interactions sont les plus efficaces ? Dans quelles situations ? Pouvons-nous influencer davantage notre corps ? Pour le développer ? Pour le guérir ?

Et pour le manager ?

Les neurosciences nous confirment l’importance primordiale de la pensée positive à la fois pour soi-même et pour ceux que l’on cherche à influencer. Le stress, les sanctions, la peur rétrécissent le champ de conscience des individus, réduisent leur perception, anéantissent leur esprit d’initiative. L’exemplarité et la détermination du manager jouent un rôle déterminant sur le comportement de ses collaborateurs, par l’action des neurones miroirs notamment. Les champs informationnels des individus interagissent : au manager d’orienter ces champs, par exemple en réunion, vers un même but. »

Pas « d’entourloupe » : une information donnée aux collaborateurs alors que le manager « n’y croit pas », non seulement ne donne pas l’effet escompté mais peut même être contreproductive en modélisant un comportement manipulateur.

La vision positive d’un résultat, une relation de confiance, un contrôle sécurisant, une écoute réelle, etc… autant d’atouts pour le manager souhaitant que ses collaborateurs donnent le meilleur d’eux-mêmes.

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Isabelle Il y a 10 années

Très intéressant, comme tout ce que je ne comprends pas vraiment…

Les champs informationnels qui occupent le vide quand on enlève tout, j’ai du mal à les concevoir, je ne dois pas avoir le bon neurone miroir! J’ai tendance à considérer que le cerveau ne peut pas s’empêcher de penser, même si nous n’en sommes pas conscient (de même que le cœur ne peut pas s’empêcher de battre) Ce serait ça, le vide quand on enlève tout? Penser et analyser sans en avoir conscience? Alors oui, c’est la base de l’intuition, qui ni innée ni spécifiquement féminine, mais qui se nourrit de tout ce qui nous environne de manière implicite ou « subliminale ». De manière non encore « conscientisée »

L’approche par les neurosciences est certes différent, mais les phénomènes étudiés sont les mêmes. Par exemple, une information donnée aux collaborateurs alors que le manager n’y croit pas, c’est ce qui met le manager en « dissonance cognitive », c’est une absence de « congruence ». C’est le même phénomène habillé avec d’autres termes, ceux des psychologues humanistes, notamment ceux de Carl Rogers.

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SIMON Il y a 10 années

L’analyse est très intéressante et utilise bien les conséquences des énormes progrès scientifiques et les expérimentations dernièrement réalisé, des sciences de la vie aux sciences de la matière, des sciences du monde aux neurosciences. Ainsi le neuropsychologue Mario Beauregard a pu récemment s’élever contre les erreurs de certaines personnes qui prétendent que c’est le cerveau qui désire, mémorise, exécute telle fonction … alors que c’est la personne humaine dans son ensemble qui fait tout cela et non l’organe.
De même en mécanique quantique, on ne parle pas de la nature, mais de la connaissance que nous en avons. Telle est la position de l’idéalisme, opposée au réalisme.
Le réalisme est l’idée qu’il existe un monde, indépendant de la conscience humaine ou de la connaissance que nous en avons, et que nous pouvons connaître par l’observation, l’expérience ou la raison. C’est typiquement la vison que nous nous faisons du monde macroscopique.
L’idéalisme dit au contraire, que c’est n’est pas le monde qui se révèle à nous à travers nos sens, notre raison ou notre expérience, mais notre esprit qui projette sa structure sur le monde et qui, d’une certaine façon, le constitue ou le construit (cf Jean Bricmont dans son livre sur la philosophie de la mécanique quantique)
Un simple regard sur la particule, la mise en place d’un appareil de mesure, la moindre action de l’observateur vient influencer le résultat de la mesure. Il faut s’y résigner, dans le monde des particules, l’appareil, l’observateur .. tous font partie de la mesure !
Ernst Mach pensait que cela résultait d’une force mystérieuse qui imprègne tout l’univers, mais on n’a jamais pu l’expliciter.

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

Merci Isabelle et Simon pour vos contributions.
Isabelle, rassurez-vous car nous sommes loin de tout comprendre ! J’ai simplement essayé d’apporter un témoignage de ce qui me parait être une ouverture prometteuse pour le futur même si, en effet, cela confirme des concepts philosophiques ou psychologiques déjà anciens pour certains.
Simon, voilà un apport scientifique complémentaire intéressant qui prolonge efficacement les idées exposées. Et qui ne peut que nous rendre humbles devant l’immensité de ce que nous ne connaissons pas.
Continuez de réagir !

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NATHALIE Il y a 10 années

Tant mieux qu’il y ait de nouvelles choses à découvrir dans le fonctionnement humain car nos références actuelles mêmes géniales viellissent. Que cette part de mystère nous pousse à la découverte! Quelle sagesse de penser que nous ne savons pas tout de l’autre et de nous-mêmes. Quelle ouverture pour nos enfants! Et que de perspectives pour le manager….alors au travail!

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

@NATHALIE. Quel enthousiasme ! Je le partage pleinement ! Merci pour votre contribution.

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Valérie Moissonnier Il y a 10 années

Bonjour Jacques,

J’ai trouvé votre article intéressant et souhaiterait en savoir d’avantage sur le sujet.
Quelles sont vos sources ? Merci

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

Bonjour Valérie. Voici quelques indications vers des livres, sites et DVD, de quoi passer des heures passionnantes :
Livres :
« La science d’avant-garde: L’homme, face à l’univers dans tous ses états » de Fritjof Capra, Michio Kaku, Bruce Lipton et Deepak Chopra
« Les connexions invisibles » de Nikou Tridon et Fritjof Capra
« Le lien Quantique » de Lynne Mc Taggart
« Biologie des croyances » et « Evolution spontanée » de Bruce Lipton
Sites :
http://www.jeanyvesbilien.com : Nombreux films disponibles
http://www.noetic.org : Institute of Noetic Sciences, recherches en neurosciences
http://www.heartmath.org : Recherches et outils en cohérence cardiaque
DVD :
« Water » par Masaru Emoto and Co, avec un premier DVD passionnant sur “Les secrets de l’eau” et un deuxième DVD d’interviews de scientifiques américains, britanniques, russes…
« The Living Matrix » par Bruce Lipton
Merci Valérie pour ta contribution.

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Christiane Il y a 10 années

Cher Jacques,

Merci pour ce bel article : Quelle responsabilité pour le Manager ! Mais aussi quel beau rôle !
Donc, si j’ai bien compris un « Patron » doit être un exemple ; savoir diriger, avoir le cœur ouvert et voir ses collaborateurs de façon positive, les aider, les encourager, les motiver. Tout comme un bon père, en fin de compte ! Et ses « enfants » feraient du bon travail car ils voudraient faire plaisir à leur « papa ».
Quel bonheur pour tout le monde d’aller au boulot !

Ne pourrait-on pas placarder ces mentions dans toutes les usines, bureaux, commerces ?

Bon courage et bonne continuation.

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sallat Il y a 10 années

Vous présentez là une vision pertinente mais incomplète du management. Je vous recommande l’étude de mon livre  » décider en stratège: la voie de la performance »,

Ce livre est un kit de survie et de décision. Il a pour ambition d’aider les managers et les entreprises à survivre, à décider et à réussir en ayant une approche stratégique de la performance et de la conduite des organisations. Il donne des clés pour progresser dans un monde du travail qui s’est dégradé ces dernières décennies en apportant des éclairages innovants sur la prise de décision et l’anticipation nécessaires au développement des activités. Dans le secteur public comme dans le secteur privé, la performance des process de l’entreprise et le management atteignent donc aujourd’hui leurs limites d’efficacité. Il faut recourir à d’autres solutions.

Cet essai s’adresse aux décideurs et aux organisations. Il propose des solutions d’un autre type par une approche stratégique concrète de la performance et du management basée sur des principes de la stratégie élaborés depuis des siècles par les stratégistes et qui ont traversé les âges sans prendre une ride. Les universités ou les grandes écoles n’abordent que trop peu ce véritable levier du succès en regard des enjeux de la mondialisation et de la violence de la compétitivité mondiale.

Ces règles d’or de la stratégie sont probablement des alternatives d’excellence aux principes managériaux modernes, ils sont un trésor caché d’une modernité criante qu’il est indispensable de mieux connaître pour survivre et surclasser ses adversaires dans une société de plus en plus concurrentielle et individualiste.

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

@Valerie.
Livres :
« La science d’avant-garde: L’homme, face à l’univers dans tous ses états » de Fritjof Capra, Michio Kaku, Bruce Lipton et Deepak Chopra
« Les connexions invisibles » de Nikou Tridon et Fritjof Capra
« Le lien Quantique » de Lynne Mc Taggart
« Biologie des croyances » et « Evolution spontanée » de Bruce Lipton
Sites :
http://www.jeanyvesbilien.com : Nombreux films disponibles
http://www.noetic.org : Institute of Noetic Sciences, recherches en neurosciences
http://www.heartmath.org : Recherches et outils en cohérence cardiaque
DVD :
« Water » par Masaru Emoto and Co, avec un premier DVD passionnant sur “Les secrets de l’eau” et un deuxième DVD d’interviews de scientifiques américains, britanniques, russes…
« The Living Matrix » par Bruce Lipton

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

@sallat.
Merci pour votre recommandation.

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

@Christiane. Quelle belle idée de placarder le bonheur d’aller au boulot !!
Il y a quelques années, j’avais un patron remarquable dont la devise était : B & B !
Il s’amusait de la ressemblance avec la célèbre marque de whisky et pour lui cela voulait dire : Business et bonheur !! Peut-être parlait-il plus pour lui que pour ses collaborateurs ?

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Xavier Il y a 10 années

Merci Jacques pour ta contribution constante et enrichissante à nous éclairer sur les différentes dimensions du management.
Un nouvel axe : les neurosciences !
Sujet délicat tant les théories sont nombreuses et contradictoires.
Mais qu’importe la vérité sur ces théories, l’important est :
1 – d’y apporter du crédit même si nous ne sommes en rien (enfin, pas moi) capable de l’évaluer scientifiquement
2 – de se trouver en résonance avec les implications comportementales et managériales
3 – de trouver une explication plausible à ce que nous ressentons viscéralement

Comme je suis quelqu’un qui prend du plaisir à y croire quand l’histoire est belle, je trouve très intéressant l’aspect multicanal de la collecte de données, d’informations, agrémentée d’un traitement non cognitif.
J’adore, parce que cela revient à créer un nouveau 6ème sens (cellules, eau, organes non sensoriels ) le « 6ème sens – intuition » étant du coup relégué à la 7ème place 🙂

J’adhère aussi totalement aux cellules miroirs, cela reprend le principe du rayonnement et de la contagion.
Si je nourris mon entourage d’ondes positives, j’améliore son environnement, et la qualité de son champ informationnel. Et à son tour, il me nourrira d’ondes positives.

Alors oui, le manager a un rôle moteur dans ce cercle vertueux, mais avant tout, il doit créer l’état d’esprit propice au sein de l’équipe pour les rendre perméable. Créer un mouvement universel de bonne humeur, le rêve de tout manager.

Pour le faire régulièrement, expliquer à ses équipes ou à ses étudiants cette « manipulation » est assez intéressant. De prime abord les réactions sont incrédules voire moqueuses, puis rapidement l’idée fait son chemin et des étoiles s’allument dans leurs yeux, puis un sourire sur leurs lèvres 🙂

Merci Jacques de nous donner l’occasion de réfléchir et de verbaliser nos connaissances, pratiques, expériences et convictions.
Bien à toi,

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

A Xavier. Merci pour ce témoignage, ce grand enthousiasme et ces éloges.
Tes dizaines de collaborateurs ont de la chance de t’avoir comme manager car je suis persuadé que tu es en parfaite concordance entre ce que tu penses, ce que tu dis et ce que tu fais. J’espère qu’ils en sont conscients !
Bien cordialement

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Isabelle Il y a 10 années

Les neurones miroir, neurones de l’empathie ?

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Jacques

Jacques Il y a 10 années

Merci Isabelle. Je viens de lire l’article à partir du lien que tu nous donnes. C’est un article très intéressant sur le rôle majeur des neurones miroir. J’ai notamment apprécié le moment où le scientifique se demande si tous nos neurones ne sont-ils pas finalement des neurones miroir. Il affirme par ailleurs que tous nos désirs sont issus de l’observation que nous faisons de personnes désirantes. Cela mène à beaucoup de remises en question sur nos désirs d’une part et sur notre libre arbitre d’autre part. De quoi guider de belles méditations…

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Pluton Il y a 9 années

En effet, je vous remercie moi aussi pour la richesse de votre article. En dehors de l’apport évident que les neurosciences ou la physique quantique peuvent apporter au domaine du management, elles éclairent aussi certains phénomènes quotidiens auxquels nous sommes confrontés.
Par exemple la propriété physique qui stipule qu’une onde vue devient une particule explique très bien pourquoi nos téléviseurs et nos écrans d’ordinateur sont constamment pleins de poussière.
Par ailleurs je me suis beaucoup intéressé à l’influence du contenu informationnel de l’eau. Reproduisant l’expérience du verre d’eau, je me suis rendu compte que m’hydrater avec une bouteille pleine ayant été exposée à l’attention positive avait un impact sur mon humeur. En effet, boire cette eau « positive » lorsque je me sens grincheux me redonne le sourire. Bien évidemment ce type d’effet n’est jamais mis en avant par les scientifiques. Les industries pharmaceutiques seraient bien embêtées si plus de gens savaient que pour lutter contre des maux tels que la déprime il ne nous suffit que d’un peu d’eau…

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