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L’optimisme est-il un vecteur de performance ?

Si l’on devait définir l’optimisme on pourrait selon Epictète, expliquer que l’optimisme réside dans « la façon dont on vit une  situation ». En résumé ce n’est pas la situation qui pose problème mais les lunettes que l’on porte pour l’interpréter.

Chacun évolue entre optimisme et pessimisme en fonction, de son tempérament et des événements. La bonne nouvelle apportée par les chercheurs en psychologie est que nous pouvons muscler notre optimisme…

Qu’est ce qui fait la différence entre l’optimisme et le pessimisme ?

3 éléments y participent :

Par exemple :

« J’ai réussi ce projet, pour une fois j’ai eu de la chance, heureusement que le client était indulgent… » (Auto responsabilité négative, la réussite n’est pas de mon fait mais du fait du comportement du client)

Ou :

« J’ai réussi ce projet, c’est normal, j’étais au top, quand je me prépare bien je gagne, c’est comme ça … » (auto responsabilité positive)

La différence est claire !

Les comportements favorables au développement de l’optimisme sont liés à une capacité à interpréter les événements que l’on vit en cherchant à les optimiser. Par conséquent à vivre du mieux possible les situations compliquées ou inédites.

La difficulté est que les comportements défavorables sont plus inscrits dans nos habitudes de fonctionnement et dans nos reflexes comportementaux, par exemple :

Comment faire ?

Il existe beaucoup de choses petites ou grandes qui nous permettent de cultiver notre optimisme :

Je vous propose de tester ces postures de manager de l’optimisme, vous devriez observer une spirale vertueuse :

 « Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal, seule compte la force d’avancer », Winston Chrurchill

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